COMBAT POUR L'ESPERANCE
AMIS
nous ne devons plus accepter cette société matérialiste.
EN 2012, ELISONS UN PRESIDENT COURAGEUX
A L"ECOUTE DE SON PEUPLE
* ayant compris :
- que la Vème République est une honte, elle a détruit notre Liberté,
- que nous devenons chaque jour un peu plus esclaves de l’argent,
- que l’Etat Français est prisonnier de la Haute Finance Mondiale,
- que seul un Etat Européen, à six ou sept, sauvera l’Europe,
- que nous ne voulons plus de cette dualité « droite-gauche »,
- que le racisme qui se développe mène à la guerre civile,
- que chaque Région doit s’auto-suffire en nourriture.
* qui osera
proclamer la Sixième République
afin de remettre la France sur le beau chemin
de notre désir ardent à tous : « Vivre, Etre Soi et Aimer » !
La France, ce n’est ni la Marseillaise ni l’Elysée,
mais notre belle Patrie faite de la communion de ses Régions,
chacune différente et riche de son histoire.
Pourquoi n’adopterait-elle pas cette nouvelle devise républicaine :
Amitié, Justice, Liberté
Capitaine Gérard Delas
65 400 OUZOUS
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1er Janvier 2012
Chers Amis,
Je livre depuis longtemps un dur combat pour l’Homme et surtout pour la jeunesse. Afin que vous compreniez mieux la raison de ce tract, je vous confie aujourd’hui ce cri de mon cœur :
Devant l’effondrement de notre Société, je crois que l’heure vient où il va falloir combattre ensemble la désespérance qui nous menace tous. Dans ma vie, au fur et à mesure que les années passaient, je remarquais que le mal s’étendait sur la terre comme une marée noire. Alors je m’arc-boutais pour changer le monde. Il y avait dans mes combats un mélange d’amour et d’orgueil. Je vivais d’espoirs et c’était rassurant. J’avais plein de confiance en l’Homme, en la politique… et en moi. Je risquais ma carrière d’officier pour exiger que le Service Militaire soit réformé et devienne une formidable école d’amitié. Sanctionné, j’ai perdu mon métier que j’aimais. Seul, avec ma femme ou avec des amis, j’ai fait des pèlerinages de trois cents à mille kilomètres à pied. En même temps, j’ai fondé un centre de pleine nature « Les Refuges Guillaumet ». Au cours des six cents stages effectués, j’ai compris beaucoup de choses, en particulier sur notre jeunesse et sur la belle amitié. Mais voilà, tous les rouages de notre Société refusent cette amitié…J’ai dû arrêter mon « service civique Guillaumet » qui était mon plus grand espoir !
J’apprends alors le suicide du fils d’un ami et découvre la désespérance d’une de mes petites filles … Le désespoir m’envahit. C’est alors qu’une folle idée me traverse l’esprit : me faire médiatiser en m’attaquant à l’Etat ! Je voulais faire entendre mon cri au peuple de France afin qu’il se lève et vienne au secours de notre jeunesse ! J’ai mis le feu à la sous-préfecture d’Argelès. En fait de médiatisation, je n‘ai eu que des ennuis et le jugement de beaucoup... Petit à petit, je me rendais compte que l’Amour s’enfuyait et que mes espoirs tombaient les uns après les autres. J’ai commencé à en vouloir à Dieu et je faisais du mal à mes proches. Pire, je sentais la violence en moi et le tourbillon de la haine s’approchait. Heureusement, mon épouse Françoise, mes enfants et mes amis étaient là. Par leur amour, ils m’ont éloigné de la désespérance.
Mes larmes et mes cris vers le Ciel ont dû toucher Jésus, ce Dieu-Tendresse, proche, ami, seul source d’Espérance ! Aujourd’hui, je crois l’entendre, Il nous dit : « Ayez une confiance absolue en moi, chaque fois que vous perdez un espoir, abandonnez-vous un peu plus en mes bras et bondissez d’amour vers les autres, jusqu’au bout de vos forces. Et là, j’éclairerai le beau chemin de vos désirs ardents. » Croire en ces paroles, c’est cela l’Espérance. Oui, espérons et risquons : Amis, devant les évènements graves qui viennent, aimons-nous les uns les autres comme Il nous a aimés, et créons vite autour de nous des liens d’amitié rayonnant l’amour et la joie. Laissons tomber nos vieilles rancœurs et grâce à ces « retrouvailles entre nous », nous allons gagner : tous nos cœurs vont s’ouvrir et nous pourrons enfin Vivre, Etre et Aimer !
Alors bonne année à vous tous.
Votre ami, Gérard Delas