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Amitié...Combat...Espérance

3 janvier 2012

COMBAT POUR L'ESPERANCE

AMIS 

nous ne devons plus accepter cette société matérialiste.

EN 2012, ELISONS  UN PRESIDENT COURAGEUX

A L"ECOUTE DE SON PEUPLE 

            * ayant compris :

               -  que la Vème République est une honte, elle a détruit notre Liberté,

               -  que nous devenons chaque jour un peu plus esclaves de l’argent,

               -  que l’Etat Français est prisonnier de la Haute Finance Mondiale,

               -  que seul un Etat Européen, à six ou sept, sauvera l’Europe,

               -  que nous ne voulons plus de cette dualité  « droite-gauche »,

               -  que le racisme qui se développe mène à la guerre civile,

               -  que chaque Région doit s’auto-suffire en nourriture.

            * qui osera

proclamer la Sixième République 

afin de remettre la France sur le beau chemin

de notre désir ardent à tous : « Vivre, Etre Soi et Aimer » !

La France, ce n’est ni la Marseillaise ni l’Elysée,

mais notre belle Patrie faite de la communion de ses Régions,

chacune différente et riche de son histoire.

Pourquoi n’adopterait-elle pas cette nouvelle devise républicaine :

Amitié, Justice, Liberté

Capitaine Gérard Delas

65 400 OUZOUS

 

******************************************************

   1er Janvier 2012

 Chers Amis,

      Je livre depuis longtemps un dur combat pour l’Homme et surtout pour la jeunesse. Afin que vous compreniez mieux la raison de ce tract, je vous confie aujourd’hui ce cri de mon cœur :

       Devant l’effondrement de notre Société, je crois que l’heure vient où il va falloir combattre ensemble la désespérance qui nous  menace tous. Dans ma vie, au fur et à mesure que les années passaient, je remarquais que le mal s’étendait sur la terre comme une marée noire. Alors je m’arc-boutais pour changer le monde. Il y avait dans mes combats un mélange d’amour et d’orgueil. Je vivais d’espoirs et c’était rassurant. J’avais plein de confiance en l’Homme, en la politique… et en moi. Je risquais ma carrière d’officier pour exiger que le Service Militaire soit réformé et devienne une formidable école d’amitié. Sanctionné, j’ai perdu mon métier que j’aimais. Seul, avec ma femme ou avec des amis, j’ai fait des pèlerinages de trois cents à mille kilomètres à pied. En même temps, j’ai fondé un centre de pleine nature  « Les Refuges Guillaumet ». Au cours des six cents stages effectués, j’ai compris beaucoup de choses, en particulier sur notre jeunesse et sur la belle amitié. Mais voilà, tous les rouages de notre Société refusent cette amitié…J’ai dû arrêter mon « service civique Guillaumet » qui était mon plus grand espoir !

       J’apprends alors le suicide du fils d’un ami et découvre la désespérance d’une de mes petites filles … Le désespoir m’envahit. C’est alors qu’une folle idée me traverse l’esprit : me faire médiatiser en m’attaquant à l’Etat ! Je voulais faire entendre mon cri au peuple de France afin qu’il se lève et vienne au secours de notre jeunesse ! J’ai mis le feu à la sous-préfecture d’Argelès. En fait de médiatisation, je n‘ai eu que des ennuis et le jugement de beaucoup... Petit à petit, je me rendais compte que l’Amour s’enfuyait et que mes espoirs tombaient les uns après les autres. J’ai commencé à en vouloir à Dieu et je faisais du mal à mes proches. Pire, je sentais la violence en moi et le tourbillon de la haine s’approchait. Heureusement, mon épouse Françoise, mes enfants et mes amis étaient là. Par leur amour,  ils m’ont éloigné de la désespérance.

       Mes larmes et mes cris vers le Ciel ont dû toucher Jésus, ce Dieu-Tendresse, proche, ami, seul source d’Espérance ! Aujourd’hui, je crois l’entendre, Il nous dit : « Ayez une confiance absolue en moi, chaque fois que vous perdez un espoir, abandonnez-vous un peu plus en mes bras et bondissez d’amour vers les autres, jusqu’au bout de vos forces. Et là, j’éclairerai le beau chemin de vos désirs ardents. » Croire en ces paroles, c’est cela l’Espérance. Oui, espérons et risquons : Amis, devant les évènements graves qui viennent, aimons-nous les uns les autres comme Il nous a aimés,   et créons vite autour de nous des liens d’amitié rayonnant l’amour et la joie. Laissons tomber nos vieilles rancœurs et grâce à ces « retrouvailles entre nous »,  nous allons gagner : tous nos cœurs vont s’ouvrir et nous pourrons enfin Vivre, Etre et Aimer ! 

       Alors bonne année à vous tous.                       

                                                                       Votre ami, Gérard Delas

 

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28 juillet 2009

Les larmes de Jésus

     « Un chrétien, ce serait celui qui sentirait à chaque instant que Dieu est en péril, et qui se porterait au secours de Dieu, en lui et dans les autres, et qui s’efforcerait justement, en dépassant ses propres limites, de faire de sa vie un espace pour recueillir l’Eternel Amour. Un enfant peut comprendre cela, un enfant peut comprendre les larmes de Jésus, ces larmes d’amour, ces larmes d’infinie tendresse qui sollicitent notre amour.Dieu souffre pour nous, en nous, avant nous, plus que nous, comme une mère intérieure à nous-mêmes. Mais Dieu ne souffre pas d'une souffrance qui peut l'affecter en le détruisant, non ! Dieu souffre de cet amour d'identification qui est le pur amour, qui est l'amour sans réserve, l'amour sans retour, l'amour pur don, et qui est l'éternel berceau de notre vie.

     Il nous faut regarder à travers les plaies sacrées de Notre Seigneur et sa douleur imprimées dans les stigmates de Saint François, le visage du Dieu-Mère, infiniment plus mère que Marie elle-même.

     Dieu est Père éternellement, mais il est aussi Mère éternellement, et tout ce qu'il y a de tendresse, de grandeur et de générosité dans l'amour des mères n'est que le rejaillissement lointain et comme l'écho assourdi de son Amour. »

                                                                       Maurice Zundel            

25 juillet 2009

Aimer avec tendresse

« Je rêve d'un amour comme je ne l'ai pas encore vu expliqué dans un livre…surtout comme je ne l'ai jamais vu recommandé dans des conseils aux religieuses…d'un amour qui soit à la fois divin et humain. Je rêve qu'on puisse donner beaucoup de tendresse qui soit si divine qu’elle n'entraîne pas fatalement le désordre des sens.

      Pourquoi ne peut-on pas aimer ardemment en même temps que très purement ? Croyez-vous que ce ne serait pas réalisable ? Pourquoi, parce qu'on est religieuse, doit-on plus fermer que plus ouvrir son cœur ?

      Je vous assure que le monde a besoin d'amour… Je voudrais aimer tous les humains du monde entier… Je voudrais mettre une étincelle d'amour dans chaque coin du monde : en Egypte, au Brésil, bientôt au Japon… Une étincelle, cela fait des incendies de forêt en Provence. Pourquoi cela ne créerait-il pas des brasiers dans le monde entier ?

     Je suis toute petite, toute pauvre, toute craintive dans le fond, mais je crois que le Seigneur me confie de grandes choses et qu'il me faut avoir de l'audace, beaucoup d'audace dans la voie de l'amour…

      Je crois de plus en plus que nous ne sommes pas faites pour notre perfectionnement personnel ni pour fonder de belles fraternités bien organisées. Notre rôle est beaucoup plus de défricher et de semer… Le monde entier nous appelle… La foi s'en va, la charité s'éteint parce qu'on ne trouve pas assez de véritables foyers d'amour… On en a assez de la grande charité tout court, on a trop besoin d'amitié, de tendresse et, si on ne la trouve pas dans la religion du Christ, chez les intimes amis du Christ, on la cherchera ailleurs…

      Croyez-moi, je n'ai pas perdu la raison. Je pense seulement qu'il faut une méthode tout autre… pas nouvelle… ancienne plutôt, celle de Jésus avec ses douze apôtres, qui les envoyait deux par deux. Pourtant ils n'étaient pas si extraordinaires avant la Pentecôte !

      Il ne faut pas continuer à laisser des êtres souffrir autour de soi et ne pas aller vers eux, sous prétexte de se préserver, comme un soldat qui, pour garder sa tenue impeccablement nette, éviterait la boue des tranchées et la blessure des balles. »

            Petite sœur Madeleine de Jésus

25 juillet 2009

Hymne au corps

     De l'embryon au vieillard, c'est bien le même corps qui se transforme. Un jour, poussé par le souffle de Dieu, il se dégagera de sa chrysalide et, tel le papillon, il surgira dans la splendeur de sa résurrection.

      Ce fils de la terre crie ses besoins vitaux et son désir du Ciel, mais il n'a pas d'envie. Le corps parle vrai, il ne sait pas mentir. Il dit tout du cœur et de lui-même... à chaque instant. Il se souvient de tout car il vit l'éternel présent. Il tremble de froid et aussi de peur. Il transpire quand il a chaud, ou lors d'une émotion. Il avertit toujours quand quelque chose va mal à l'intérieur de l'être.

      Il aime les caresses, rayonne la tendresse, car il est un enfant. Il jubile dans l'eau, sur l'herbe fraîche, ou sous le regard attendri d'un ami. Il tressaille d'allégresse, nu au soleil, mais il s'habille car il déteste et le vent du nord et les regards impurs. Insatiable, non de bonnes soupes, mais de dépassement de lui-même, il marche, souffle, peine, n'en peut plus, mais trouve la force de traverser une montagne pour rejoindre ses amis.

      Fragile, au regard si pur, il a soif d'absolu et de liberté. Compagnon fidèle du cœur, le corps ne peut donc se réjouir seul : ce qui est délice pour lui est délice pour le cœur, et il frémit de désir quand le cœur a un élan d'amour. Alors, même abîmé par la vie, tel un vitrail, il rayonne une beauté divine.

      Il est une personne qui cherche toujours sa moitié séparée. Quand un corps d'homme rencontre un corps de femme, quelle joie pour tous les deux : contact, chaleur, caresse, douceur, délicatesse, tendresse, pureté, beauté, communication profonde, soif de communion et d'absolu, signe de pardon donné et reçu. Ce n'est pas le plaisir qu'ils cherchent, mais la Vie au présent où Dieu se fait Présence. Savent-ils qu'ils sont hosties vivantes, nourriture pour tout être, de toute race et de toute religion ? Et quel bonheur aussi quand, unis pour toujours, ils donnent naissance à un fils de la terre... et du Ciel !

25 juillet 2009

Questionnement

   

Amis, que Dieu allume en chacun une belle étoile d'espérance afin que nous puissions continuer de « marcher, risquer et croire » sur le  chemin de l’épanouissement de notre être ! Mais pour cela, il est temps de se poser chacun quelques questions:

1° - Avons-nous repéré nos trois orgueils, cette terre conquise en nous par le Malin qui nous retourne sans cesse sur notre « petit moi ». Cette carapace brise nos liens, nous durcit et nous empêche d’être. Elle abîme nos dimensions paternelle, maternelle et filiale :

   * L'orgueil « blanc » (je suis le meilleur) qui dévie notre paternité en prise de pouvoir sur les autres.

   * L'orgueil « noir » (je suis nul) qui détruit notre maternité en nous susurrant que notre vie est inutile. Nous entrons alors dans l'activisme pour combler notre manque.

   * L'orgueil « gris », mélange des deux précédents, qui refuse notre dimension filiale. Nous recherchons sans cesse, tel un adolescent en  perpétuelle révolte contre son père, à imiter les vedettes. L'infernale question « qui suis-je ? » nous retourne sur nous-mêmes et nous entraîne dans un paraître qui étouffe notre être profond et divin.

      Apprenons à chasser les deux horribles voix qui souvent nous empêchent d'agir : « que va-t-on penser de moi ? » et « de toute façon, cela ne servira à rien ! »

2°- Nous ne pouvons séparer le bon grain de l'ivraie, mais avons-nous  repéré cet orgueil pour l'empêcher de nuire, et osons-nous l'utiliser quand notre force d'aimer n'est pas assez forte ?

3°- Savons-nous le faire taire, dans nos couples ou dans chacune de nos amitiés :

   * à chaque remarque de l'autre, en sachant respecter un temps de silence pour réfléchir avant de répondre ?

   * à chaque dispute... en disant à l'autre : « Je te demande pardon ! » Et si l'autre nous le dit en premier, osons-nous à notre tour le serrer dans nos bras et lui répondre : « Moi aussi je te demande pardon » ?

   * à chaque jugement sur l'autre quand sa carapace nous agace. Nous souvenons-nous alors que derrière il y a un grand cœur, si beau, si avide de se donner ? Suis-je le bon samaritain, ou le prêtre de l'Evangile qui passe sans même regarder le blessé qui appelle au secours ?

4°- Quand nous avons démasqué nos trois orgueils, plus rien ne s’oppose à l’agrandissement de notre être… sauf la jalousie de ceux qui nous entourent. Le Malin les utilise pour nous attaquer méchamment, salir notre être si difficilement découvert, et pour nous faire croire qu’il est temps de « mourir à soi-même ». Savons-nous là, pour lutter contre le doute et la culpabilisation, dire à notre Père : « Papa chéri, je suis fier, c’est toi qui m’a créé, je suis ton tout petit ! »

5°- Dieu nous a tous choisis pour amis. L'avons-nous choisi à notre tour ? Si oui, sommes-nous pour Lui, tour à tour, sa mère, son père et son enfant pleins de tendresse ?

6°- Savons-nous que dans chacune de nos amitiés, nous ne sommes plus deux, mais trois avec Jésus ?

7°- Mais à propos, qui sont mes amis ? Ceux vers lesquels je vais pour prendre ou pour donner ?

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25 juillet 2009

Aimer d'amitié

Compagnons ou camarades tissent des liens grâce à leur engagement commun. Les amis, eux, s’unissent pour le meilleur et pour le pire, car ils se sont rencontrés au cœur. Ne confondons pas ces deux types de liens si nécessaire pour établir la communion d’un  peuple, avec copinage fusionnel ou relations mondaines intéressées.

Nous allons parler maintenant de l’amitié que Jésus nous a proposée le Jeudi Saint. Une telle amitié ne peut naître qu’après un chemin d’apprivoisement plus ou moins long, ce qui nécessite de notre part écoute, patience, délicatesse. Le jour où nous nous rencontrons au cœur dans un moment de grande émotion, la tendresse est là ! Cette amitié peut alors grandir sans cesse si chacun de nous accepte de vivre dans la confiance et le courage, même au travers de crises suivies de vrais pardons. Nous sommes entrés dans la spirale créatrice d'amitié : Vivre, Etre et Aimer. Celle-ci nous entraîne à construire du beau ensemble, à découvrir nos désirs ardents, à nous donner sans compter aux autres. Elle nous apprend à nous obéir dans un abandon toujours plus grand, à découvrir nos responsabilités réciproques et à marcher main dans la main avec Jésus.

L'amour n’est pas un sentiment, il est un état. Nous sommes tous Amour, cadeau unique et gratuit, à l’image et à la ressemblance de Dieu. Son expression dans l’amitié est le sommet du don de soi car elle est gratuite et ouverte aux amis des deux sexes. Nous pouvons y risquer de perdre temps, travail, réputation, jusqu’à notre vie. Dans cette amitié, entre homme et femme surtout, l'attirance grandit sans fin. Elle se manifeste par un désir très intense de communion, car c'est Dieu caché en nos corps qui nous attire. Cette attirance devrait être apprivoisée dans plusieurs amitiés vécues dans la chasteté (*). Faute de cela, beaucoup tomberont dans la fusion où le corps devient objet, puis se rejetteront !

Aimer d'amitié nous donne chaque jour une force de vie joyeuse qui pousse à nous engager pour les autres, à créer de nouveaux liens profonds et à conquérir toujours une plus grande liberté d'être. Nos personnalités, grâce à ces amitiés, se révèlent sans fin. Et plus nos êtres grandissent, plus nous devenons beaux, purs, porteurs de joie, nobles, audacieux, libres, prêts à tout... pour les autres et pour Dieu. Cela est possible si nous désarmons nos orgueils en        « redevenant comme des petits enfants » l'un devant l'autre. Cela nécessite de faire grandir chacun nos dimensions maternelle et paternelle pour accueillir celui qui s’abandonne.

(*) Ici chasteté signifie : laisser l’autre libre, en refusant toute fusion.

25 juillet 2009

schéma

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25 juillet 2009

Citations

    

     «  Il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ses amis. »

                        Jésus-Christ selon Saint Jean 

     « L’amitié fait le tour du monde et nous convie tous à nous réveiller pour la vie heureuse. »

                   Epicure 

                

«  L’amitié est une recherche permanente de la Vérité. »

                   Saint Augustin 

     « L’amitié ouvre nos cœurs et révèle nos êtres divins. En elle, amour et liberté grandissent ensemble. Nous y découvrons la spirale infinie de nos désirs ardents : vivre, être, aimer. Plus nous existons, plus nous faisons un en Dieu, et plus nos corps se révèlent hostie de Dieu ! »

                   Les foyers d'amitié

1 novembre 2008

Appel aux jeunes !

  Ce site vous partage mon expérience de vie d’homme engagé. J'aimerais tant vous alerter voire vous libérer de la désespérance, de la haine et de l’indifférence qui vous menace.

  Il est urgent de découvrir le trésor unique d’une infinie beauté qui vous habite, tous.   

  C’est l’heure d’apprendre à vivre, à être et à aimer ! C’est une spirale créatrice d’amitié, un combat pour être soi, une conquête de la seule vraie Liberté. Cette amitié va permettre de sauver notre dimension spirituelle, de lutter contre l’isolement et la loi : « diviser pour régner », de retrouver l’espérance… et le chemin vers Dieu.

  Cette espérance nous soutient quand il n’y a plus d’espoir. Elle est dans la nuit, une simple étoile qui nous dit : "marche, risque et crois".

                                                                       Gérard Delas

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